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24 octobre 2009 6 24 /10 /octobre /2009 19:58

Jean-Henri d Anglebert

Jean-Henri d’Anglebert (ou Danglebert) est un musicien français, claveciniste et compositeur, né le 1er avril 1629 à Bar-le-Duc et mort le 23 avril 1691 à Paris.

Fils d’un commerçant aisé de Bar-le-Duc, il épouse Madeleine Champagne, belle-sœur de l’orfèvre et organiste François Roberday.

Disciple de Jacques Champion de Chambonnières, il lui succède en 1663 ou 1664, après sa disgrâce, comme ordinaire de la musique de la chambre du roi pour le clavecin. Cette charge sera ensuite transmise à son fils Jean-Baptiste-Henri d’Anglebert, par le système de la « survivance » qui privilégie le lignage sur le talent et privera ainsi, plus tard, François Couperin d’obtenir cette position qu’il aurait méritée.

Il publie en 1689 son unique livre de clavecin, ouvrage dans lequel il ajoute, aux suites de danses de sa composition, des transcriptions d’œuvres de Jean-Baptiste Lully dont il est ami. Il y adjoint encore quelques fugues pour orgue sur un thème unique qu’il a composées dans sa jeunesse.

Ce livre est en France le premier ouvrage imprimé qui comporte une table des ornements indiquant la manière de les exécuter.


 

Source : http://fr.wikipedia.org

 

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Publié par Thierry-alias-Jean-Philippe - dans Biographies de compositeurs
18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 05:22

Hector_Berlioz.jpg

Il est considéré comme l’un des plus grands représentants du romantisme. Il se définissait comme un compositeur classique. Sa musique eut la réputation de ne pas respecter les lois de l’harmonie, accusation qui ne résiste pas à une lecture approfondie des partitions. On y découvre que Berlioz respecte les fondements historiques de l’harmonie datant du XVI eme siècle (règles régissant les mouvements contraires ou conjoints) mais qu’il s’affranchit parfois des règles supplémentaires apparues plus tardivement (règles de modulation cadentielle entre autres).

Né le 11 décembre 1803 à La Côte-Saint-André en Isère, mort le 8 mars 1869 à Paris.

À l’âge de 6 ans, Hector est envoyé au séminaire pour suivre ses études. À la fermeture de l’établissement, en 1811, son père décide de se charger de son éducation, le destinant à une carrière de médecin. Ce qui ne l’empêchait pas de compléter sa formation avec un maître de musique qui lui enseignait le chant et la flûte.

À l’âge de 12 ans, il commence à composer.

Inscrit à l’école de médecine de Paris, il quitte sa famille et suit les cours pendant une année, avant d’écrire à son père qu’il préfère l’art à la médecine : « Je sentis ma passion pour la musique s’accroître et l’emporter sur mon désir de satisfaire mon père ». Il se brouille avec sa famille et fréquente l’Opéra de Paris.

Alors que sa formation musicale est rudimentaire, il commence à jouer de la guitare et du flageolet.

En 1823, il étudie la composition au Conservatoire de Paris.

En 1824, il écrit la « Messe solennelle », découvre Weber (il s’en souviendra pour la Symphonie fantastique) et malgré son échec au concours de Rome en 1826, il poursuit ses études au Conservatoire (dirigé alors par le grand maître de l’époque Luigi Cherubini) avec l’enseignement remarquable d’Anton Reicha pour la fugue et le contrepoint mais aussi la composition avec Jean-François Lesueur.

En 1833, il épouse Harriet Smithson.

En 1846, il compose « La damnation de Faust ».

Dès 1830, il écrit la « Symphonie fantastique » op. 14 qui enthousiasme Franz Liszt, mais provoque un grand scandale auprès d’un public qui ne se rend pas compte de la portée de l’œuvre.

En 1831, il remporte le prestigieux Prix de Rome.

En 1834, il compose « Harold en Italie ».

En 1835, il est engagé comme critique musical dans Le Journal des Débats où ses articles devaient faire date et lui valoir de nombreuses inimitiés. Il signe ses articles jusqu’en 1864.

En décembre 1837, il crée son « Requiem » à la Chapelle des Invalides en présence de la famille royale, du corps diplomatique et de toute la société parisienne ; Berlioz avait obtenu 190 instrumentistes, 210 choristes, 4 ensembles de cuivres placés dans les coins de la chapelle, ainsi que 16 timbales. Le Requiem lui gagna une acclamation immense de la part des critiques ainsi que de la part du public.

En 1838, il représente l’opéra « Benvenuto Cellini », l’atmosphère de cabale organisée par ses adversaires conduit à un échec des représentations.

En 1839, il écrit « Roméo et Juliette ».

De 1840 à 1841, il compose la « Symphonie funèbre et triomphale ».

En 1856, il débute la composition de l’œuvre « Les Troyens », achevée 2 ans plus tard. Il en a écrit le livret inspiré par l’Énéide, œuvre de Virgile. L’œuvre lyrique a été représentée en mars 1990 lors de l’inauguration de l’Opéra-Bastille à Paris.

En 1864, sa création « L’enfance du Christ » est un triomphe.




La Damnation de Faust, première partie, scène III, "Marche hongroise" :

 

Source : http://fr.wikipedia.org

 

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Publié par Thierry-alias-Jean-Philippe - dans Biographies de compositeurs
17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 14:40

Chopin_1849.jpg
Son premier concert parisien eut lieu le 26 février 1832. Le programme était impressionnant le « Quintette » op. 29 et deux « Arias » de Beethoven, le « Concerto en fa mineur » (joué au piano seul) et les variations sur « La ci darem la mano » de Chopin et, en final, l’impressionnante « Marche » suivie d’une « Polonaise pour 6 pianos » de Kalkbrenner.

La grande sociabilité mondaine de Chopin, ainsi que sa réputation de virtuose lui permettront très rapidement de devenir le professeur le plus recherché dans les milieux aristocratiques parisiens.

Pendant l’année 1834, il refusa des invitations auprès de l’ambassade russe et fit savoir que, malgré son départ avant l’insurrection, il était à Paris en émigré politique et non en sujet loyal du tsar. Ce choix lui interdisait à tout jamais de rentrer dans sa Pologne natale.

Chopin donne, le 4 avril 1835 au Théâtre italien, un grand concert de bienfaisance en faveur des réfugiés polonais (le pianiste y joue notamment son « Concerto en mi mineur » et un duo avec Franz Liszt).

Les premières années parisiennes de Chopin sont très heureuses malgré l’éloignement de sa patrie et les périls que ses amis subissent. Une solide partie de l’œuvre du compositeur prend naissance au cours de ces années.

 En 1833, Chopin publie 5 Mazurkas, 3 Nocturnes, les « Douze grandes études » qu’il dédie à son ami Franz Liszt, mais aussi le « Trio pour piano, violoncelle et violon ».

D’autre part, il se lia d’amitié avec d’autres grands artistes de son époque, tels Delacroix (peintre) ou Berlioz. Ce dernier restera, comme Schumann, un très grand admirateur et fervent défenseur des compositions de Chopin.

En octobre 1839, le roi Louis-Philippe, curieux d’entendre le Polonais, l’invita avec le pianiste Ignaz Moscheles à Saint-Cloud. Chopin joua ses « Études », ses « Nocturnes » et une « Sonate à quatre mains » de Mozart avec Moscheles. Plus qu’un succès, ce fut un véritable triomphe.

Au printemps 1841, Chopin donna, encore à Paris, un magistral concert.

À partir de 1842, l’état de santé de Chopin allait en s’aggravant.

Son ultime concert à Paris, un immense succès malgré son état affaibli, eut lieu le mercredi 16 février 1848 et resta un instant fabuleux.

De 1836 à 1847, il fut le compagnon de l’écrivain George Sand (pseudonyme d’Aurore Dupin, baronne Dudevant). Ils menèrent ensemble une vie mondaine, nourris d’une admiration réciproque.

La santé de Chopin, qui était tuberculeux, se dégrada considérablement.

Pendant le mois de juillet 1847, le couple, qui ne connaissait plus depuis un certain temps la passion de ses débuts, se sépara définitivement après être restés ensemble 9 ans.

Entre la grippe qui l’abat pendant l’hiver 1845 et le printemps 1846, et la phtisie qui progresse, le musicien est de plus en plus affaibli.

Il fit quand même une dernière tournée de 7 mois en Angleterre et en Écosse. Chopin arriva à Londres le 20 avril 1848 et eut la joie de jouer même devant la reine Victoria, ce qui lui apporta une immédiate renommée outre-Manche.

Il rentra à Paris très malade et dans une situation financière exécrable, sa maladie entraînant de nombreux frais. Son état de santé s’aggrava, mais il continua à donner des leçons, le plus souvent allongé sur le sofa près du piano, et à passer du temps avec ses amis, notamment Delacroix.

Chopin mourut quelques semaines plus tard, le 17 octobre 1849 à l’âge de 39 ans.

Berlioz a dit de Chopin : « Ces Études renferment des combinaisons harmoniques d’une étonnante profondeur ».

 

Source : http://fr.wikipedia.org

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Publié par Thierry-alias-Jean-Philippe - dans Biographies de compositeurs
16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 20:57

Frédéric-Chopin.jpg

Fryderyk Franciszek Chopin, né le 22 février ou le 1er mars 1810 à Zelazowa Wola (Pologne) et mort le 17 octobre 1849 à Paris, est un compositeur et pianiste polonais (l’un des plus célèbres pianistes virtuoses du XIX eme siècle).

C’est un grand compositeur de musique romantique qui est encore aujourd’hui l’un des plus joués et demeure un passage indispensable à la compréhension de la musique au piano. Il est, avec Franz Liszt, le père de la technique pianistique moderne.

Chopin révéla très tôt de grandes dispositions pour la musique. Il montra immédiatement un grand sens musical et faisait preuve d’une sensibilité exceptionnelle à la musique.

Dès 1816 (6 ans), il commença donc son éducation musicale.

En 1817, il composa sa première œuvre, la « Polonaise en sol mineur ».

En 1818, il fit sa première apparition sur scène à Varsovie.

Élève du Conservatoire et du lycée de Varsovie où son père était professeur, il se familiarisa avec la musique populaire polonaise en passant ses vacances dans différentes régions rurales de Pologne.

En 1829, il termina ses études musicales.

Chopin étudia la musique tout d’abord avec Wojciech Zywny qui lui fit découvrir Johann Sebastian Bach, et ensuite, à partir de 1826, au Conservatoire de Varsovie, principalement avec Wilhelm Würfel pour le piano et l’orgue, et Jozef Elsner pour la composition et le contrepoint.

La grande découverte musicale de Chopin à cette époque est évidemment celle de Niccolo Paganini qui donnera à Varsovie une série de concerts au mois de mai 1829. Le fait d’entendre  un génie totalement identifié à son instrument le conforte dans sa propre vision de la musique et de la composition, le renforçant dans la conviction que sa musique devra être composée pour piano seul.

Le concert du 11 août 1829 au soir à Vienne fut un véritable succès.

Après la gloire à Vienne, Chopin se décide à donner un grand concert au théâtre national de Varsovie, le 17 mars 1830. Les 800 places disparaissent en un éclair et le concert est un triomphe.

Les raisons du départ de Chopin sont essentiellement politiques. Profondément patriote et niant le titre de « premier pianiste du Tsar », Chopin refusera toujours de jouer devant le tsar Nicolas Ier (arrivé à Varsovie en avril 1830). Le climat d’insurrection des patriotes polonais contre l’autorité russe est dangereux pour le compositeur.

Chopin quitte la Pologne en diligence, le 2 novembre 1830, avant le déclenchement de l’insurrection de novembre.

Chopin s’installa d’abord à Vienne, en Autriche, où il vivra 8 mois. La ville qui lui avait fait triomphe lui réserve un excellent accueil.

Chopin donne un concert le 11 juin 1831. L’indifférence du public à l’écoute de son « Concerto pour piano et orchestre n° 1 en mi mineur », op. 11, le pousse définitivement à quitter l’Autriche.

C’est aussi pendant cette période viennoise qu’eut lieu l’insurrection de Varsovie, accompagnée de la répression sanglante de l’armée russe.

De ces années datent le premier « Scherzo » ainsi que les « Études » op. 10.

Chopin quitte Vienne le 20 juillet 1831 pour Paris. Ce départ du musicien ne fut pas des plus reposants. Après que la police viennoise eut égaré son passeport, l’ambassade de Russie refusa au jeune homme le visa pour Paris. Face au refus administratif, contraint de ruser, Chopin obtint un passeport pour aller à Londres via Paris.

Le Paris des années 1830 est un des hauts lieux du piano en Europe. Que ce soit le jeune Franz Liszt, Chopin aura rapidement l’occasion d’y rencontrer les plus grands virtuoses de son temps. Il y rencontre aussi Mendelssohn lors de son passage à Paris.

 

  

 

 

 

 

Source : http://fr.wikipedia.org

 

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Publié par Thierry-alias-Jean-Philippe - dans Biographies de compositeurs
11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 06:44

Franz Liszt 1858

Ferenc Liszt, né le 22 octobre 1811 à Doborjan (aujourd’hui Raiding en Autriche) et mort le 31 juillet 1886 à Bayreuth (Allemagne).

Liszt est le père de la technique pianistique moderne et du récital. Avec lui, nait l’impressionnisme au piano.

Son père lui enseignera le piano dès son plus jeune âge, au travers des œuvres de Haydn (1732-1809), Mozart (1756-1791) et Beethoven (1770-1827). Il se révèle très vite un enfant prodige et, à 10 ans, part pour Vienne (Autriche) afin de suivre pendant 2 ans les cours d’harmonie d’Antonio Salieri (1750-1825) et de piano de Carl Czerny (1791-1857).

Le 13 avril 1823, il joue à Vienne et à Pest où il fait bonne impression.

En 1824, il devient l’élève de Ferdinando Paer (1771-1839) et d’Anton Reicha (1770-1836) et compose à 14 ans son opéra « Don Sanche ou le Château d’amour », dont l’accueil médiocre l’affectera beaucoup.

En 1826, il publie les « Études » pour piano.

Il revient à Paris et donne des cours de piano afin de subsister.

Liszt a commencé la transmission de son art du piano dès la fin de sa dix-septième année dans le courant du mois de septembre 1827.

À Paris, il rencontre Hector Berlioz (1803-1869), George Sand, Alfred de Musset, Frédéric Chopin (1810-1849), Honoré de Balzac, devient l’ami d’Eugène Delacroix et fait la connaissance de Niccolo Paganini (1782-1840), qui aura une grande influence sur le développement de son art.

En 1834, il part pour Genève où il enseigne le piano au Conservatoire.

En 1836, Liszt entreprend une tournée à travers l’Europe (Suisse, Italie, Russie, etc.) et donne des concerts dans toutes les grandes villes. Outre ses propres œuvres – ses « Rhapsodies » datent de cette époque – il joue des œuvres de Chopin et de la musique allemande.

De l’automne 1837 jusqu’à fin 1839, il vit en Italie (Rome, Milan, Venise).

En 1838, il écrit les « Études d’exécution transcendante ».

Durant les années 1839-1844, Liszt est reconnu comme virtuose au piano. Il est le pianiste le plus admiré et le mieux payé de son temps.

À partir de décembre 1839, il voyage en Hongrie puis en Europe.

En 1848, il s’installe à Weimar en tant que maître de chapelle et débute alors une nouvelle période pendant laquelle il compose ses poèmes symphoniques « les Préludes » en 1850. Les conservateurs ne manquèrent pas de lui mener la vie dure, ce qui le conduit à démissionner de son poste le 18 décembre 1858.

Il se retire à Rome en 1861 et rejoint l’ordre franciscain en 1865. Il en profite pour découvrir la musique religieuse de la Renaissance.

À partir de 1869 et jusqu’à sa mort, l’abbé Liszt partage son temps entre trois capitales : Budapest, Rome et Weimar.

De 1876 à sa mort, il enseigne également pendant plusieurs mois chaque année à l’Académie royale de musique de Budapest.

Toutes les sources s’accordent pour faire de Liszt le plus grand pianiste de son temps.

Plusieurs indications nous permettent de nous faire une idée sur ses capacités de virtuose.

D’abord sur le plan purement technique, Liszt possède une main d’une taille peu commune qui lui permet d’atteindre la douzième (do-sol). Il exécute quantité de prouesses techniques telles que l’interprétation d’œuvres non encore déchiffrées (une sonate de Moscheles à 10 ans, le concerto pour piano de Grieg à 60).

Il meurt à Bayreuth le 31 juillet 1886 à la suite d’une pneumonie.

 

 

Source : http://fr.wikipedia.org

 

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Publié par Thierry-alias-Jean-Philippe - dans Biographies de compositeurs

Présentation

  • : Le blog de Thierry alias Jean-Philippe
  • : Etude du piano et de la musique classique (baroque) depuis novembre 2004 (début à 39 ans). Présentation, biographies de compositeurs, biographies de personnages importants, lexiques des termes musicaux, instruments de musique, divers articles musicaux, morceaux enregistrés, vie quotidienne, albums photos
  • Contact

Thierry alias Jean-Philippe :

 

J’ai débuté l’étude du piano et réappris en totalité le solfège à partir de novembre 2004 (piano débuté à 39 ans) car les derniers cours de musique remontent au collège !

Bien que mes intérêts soient tournés vers la musique classique (notamment baroque), mes goûts musicaux sont éclectiques.

Mon vrai prénom est Thierry. Mon pseudonyme vient du fait que je suis un grand admirateur du compositeur français de musique baroque : Jean-Philippe RAMEAU (1683 - 1764) ; d'où le nom Thierry-alias-Jean-Philippe.
Je dispose d’un piano droit Yamaha C109 ainsi que d’un clavier dynamique de 76 touches me permettant d’interpréter des morceaux à l’orgue et au clavecin.

 

Dans mon blog, vous trouverez les catégories d’articles suivant :

 

-         Une présentation plus détaillée,

-         Une galerie de portraits,

-         Des biographies de compositeurs, de pianistes, de clavecinistes,

-         Mon compositeur de prédilection Jean-Philippe RAMEAU (biographie et extraits musicaux de ces principales œuvres),

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